Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
2 mai 2011 1 02 /05 /mai /2011 14:25

pass-contraception-copie-3.jpg 

 

PASS  CONTRACEPTION

Un pas en avant , OUF !

Personnellement et cela n' engage que moi , réussir à concrétisser une idée , ou une action qui soit un plus pour l 'humanité au cours de notre passage sur cette terre est la seule preuve qui soit pour que l'on puisse croire en l' homme .( Coluche , Soeur Emmanuelle , Simone Veil , ect...) ce sont les premiers noms qui me viennent à l' esprit. Une fois l' idée concrétisée elle peut prendre de l'ampleur et suivre un long parcours .

Angélica

 

 

En 2009, Ségolène Royal, Présidente de la Région, a créé en Poitou-Charentes le « Pass’contraception », outil concret qui permet d’assurer, dans un souci d’anonymat et de confidentialité, la gratuité de la contraception orale pour les jeunes filles mineures qui, pour des raisons sociales, financières ou familiales, ont des difficultés d’accès à la contraception et ce quel que soit leur statut scolaire ou pas.

Mené en partenariat avec l’ensemble des acteurs concernés, ce projet a reçu l’aval des représentants des professions de santé et le soutien des syndicats d’infirmiers scolaires, des fédérations de parents d’élèves et des associations spécialisées.

Aujourd’hui en Poitou-Charentes la diffusion du Pass’Contraception est toujours interdite par le Ministre de l’Education Nationale Luc Chatel, dans les lycées par le biais des infirmières scolaires.

En accord avec les professionnels de santé et les syndicats de l’ordre des médecins, le Pass’Contraception a donc été mis en juillet 2010 à disposition des jeunes filles mineures chez les 1830 médecins généralistes, gynécologues et pédiatres libéraux de la région Poitou-CharenteS.

Le « Pass’contraception » est un dispositif innovant visant à assurer, dans un souci d’anonymat, de confidentialité et de proximité, la gratuité de la contraception orale pour les jeunes filles mineures de Poitou-Charentes. Il offre un droit à une consultation médicale, à une prise de sang et à une analyse médicale, à la dispensation de contraceptifs oraux pendant 6 mois. Il ne s’agit donc pas d’un accès automatique à la contraception.

Il est remis, au cas par cas, après analyse de la situation personnelle de la jeune fille et à sa demande. Il ne prend en charge que des cas médicaux simples.

L’accès aux centres de planification et d’éducation familiale est parfois difficile, notamment pour les jeunes en milieu rural en raison de leur éloignement.

Présenté sous la forme d’un « chéquier », chaque « Pass’contraception » a une valeur faciale maximale de 144 € :

– 1 coupon « consultation médicale » utilisable chez un médecin généraliste, un gynécologue ou un pédiatre libéral de la région, d’une valeur maximale de 28 €, sur la base des tarifs pratiqués en secteur 1,

- 1 coupon « prise de sang » d’une valeur maximale de 6 € permettant la réalisation d’une prise de sang par un infirmier libéral ou un laboratoire de la région,

- 1 coupon « analyses médicales » d’une valeur maximale de 20 € permettant la prise en charge des analyses médicales (glycémie et bilan lipidique) effectuées par un laboratoire de la région,

- 2 coupons « dispensation de contraceptifs » utilisables dans les pharmacies d’officine de la région, d’une valeur maximale de 45 € chacun, et permettant la dispensation de contraceptifs oraux pour une durée totale de 6 mois (3 mois renouvelable une fois).

Le dispositif « Pass’contraception » s’insère dans une politique globale de prévention menée par la Région en direction des jeunes filles et jeunes hommes de Poitou-Charentes.

> Tout téléchargez sur le « pass contracetion »

Ségolène Royal a le souci, dans ce domaine comme dans d’autres, d’apporter des solutions concrètes aux problèmes qui se posent. D’ailleurs c’est la suite de son travail comme ministre de l’enseignement scolaire où, malgré les oppositions, les mêmes obscurantismes qu’aujourd’hui, elle avait autorisé les infirmières scolaires a délivrer « la pilule du lendemain ».

 

Article publié dans le blog de Ségolène Royal

Partager cet article
Repost0
5 avril 2011 2 05 /04 /avril /2011 19:18

 

Les enfants de la DDASS 

rien n'a changé et tout le monde s'en fou !!!

 

Les juges inquiets pour les enfants en danger

Époque épique
Cinq mille enfants s.d.f.
En Seine-Saint-Denis, l'errance de plus en plus forte des enfants mal logés
"La réalité du phénomène est là. De plus en plus d'enfants vivent dans des conditions épiques",
constate Jean-Pierre Rosenczveig, président du tribunal pour enfants à Bobigny.

"droits des enfants"
Familles d'accueil : les langues se délient
L’affaire des deux enfants placés que veulent récupérer les services sociaux tourne au bras de fer.

30.000 à 50.000 jeunes de 18 à 24 ans se trouvent en situation de très grande précarité ou d'errance.
Certains chercheurs évoquent le chiffre de 100.000.
Un tiers des jeunes en errance serait des enfants de la Dass et la moitié n'aurait aucun diplôme.
"Quand ils approchent de la majorité, l'ASE évite de se mobiliser pour certains jeunes à la dérive, fugueurs récidivistes,
en se contentant d'attendre qu'ils aient 18 ans, date à laquelle l'administration n'a plus à s'occuper de leur cas.
De toutes façons, nous manquons de structures adaptées".

...on ignore la plupart du temps leur devenir à l’âge adulte.
Si ce n’est le chiffre noir d’une enquête de l’Institut national des études démographiques (Ined) en 2006,

établissant que 40% des SDF âgés de 18 à 24 ans sortaient du dispositif de protection de l’enfance.
   Vivre dans la rue à 16 ans: l'inexorable errance de Manu

PARIS (AFP- 22 12 05) - Quatre "murs" de carton dressés sur un trottoir parisien pour se protéger des regards et du froid. Enfant de la Dass, Manu, 16 ans, vit depuis six mois dans la rue. Comme des milliers de jeunes en errance, il passera Noël dehors avec son "seul ami", son chien Hector.

L'adolescent émergeant des cartons sur un trottoir du 3ème arrondissement de Paris, a des yeux bleus d'enfant noyés dans un visage rougi, marqué par les épreuves et un mode de vie "qui fait vieillir très vite".

"Je zone depuis des mois", avoue-t-il en grelottant. "Je m'enfonce, j'ai de moins en moins la pêche chaque jour pour aller chercher à manger, trouver des couvertures, mendier mais je n'irai pas en foyer, plus jamais", dit-il avec force. "Je préfère crever sur place et puis en plus ils n'acceptent pas les chiens".
Manu montre tout ce qui lui reste: un sac de 10 kilos, une photo d'une "ex", des couvertures et son chien, un petit berger allemand, qui le"réchauffe la nuit".

Il raconte au fil des phrases une vie décousue dont les seuls fils conducteurs sont la souffrance et l'abandon. Victime de maltraitances chez sa mère, dont il ne se souvient pas, il a été placé à la Dass (devenue Aide sociale à l'enfance, ASE) dans le Nord à l'âge de 3 ans. Sa mère n'a jamais donné signe de vie. Ses deux frères ainés non plus. Il est né de père inconnu.

"Je suis passé de familles d'accueil en foyers. J'étais mal à chaque fois, je voulais me barrer, quitter ces bouffons", murmure-t-il. "J'ai atterri dans des squats mais là, on me forçait à dealer, donc je suis allé dans la rue, pour être tranquille".

Mauvais traitements, rupture familiale, échec scolaire, démêlés avec la justice pour de petits larcins : Manu a connu "le parcours classique de beaucoup de mineurs à la dérive qui deviennent SDF avant même d'être adultes", comme l'explique le sociologue Jacques Guillou.

Selon le ministère de la cohésion sociale, de 30.000 à 50.000 jeunes de 18 à 24 ans se trouvent en situation de très grande précarité ou d'errance. Certains chercheurs évoquent le chiffre de 100.000.

Un tiers des jeunes en errance serait des enfants de la Dass et la moitié n'aurait aucun diplôme, d'après plusieurs études.

"Quand ils approchent de la majorité, l'ASE évite de se mobiliser pour certains jeunes à la dérive, fugueurs récidivistes, en se contentant d'attendre qu'ils aient 18 ans, date à laquelle l'administration n'a plus à s'occuper de leur cas. De toutes façons, nous manquons de structures adaptées", relève une assistante sociale qui préfère garder l'anonymat.

En quelques mois, Manu a fait l'expérience de "l'univers impitoyable" de la rue: racket, menaces, coups. "On m'a volé mes chaussures la deuxième nuit", lâche-t-il.

Il passe ses journées dans des foyers de jour, où il peut se réchauffer, somnoler sur des chaises et demander de la nourriture pour lui et Hector. Il va aussi voir les médecins de ces centres pour ses crises d'épilepsie et de schizophrénie.

Le jeune homme mendie plusieurs heures par jour. La nuit, l'angoisse du lendemain le saisit tout autant que le froid. Et il frissonne parfois en croisant dans la rue de vieux clochards, incarnant pour lui "un avenir effrayant".

Partager cet article
Repost0
9 février 2011 3 09 /02 /février /2011 14:16

Je ne connais pas cette petite fille qui n'a pas demandé à venir au monde ,

une petite fille sans défense qui jusqu' à aujourd'hui était apparemment heureuse et épanouie .

Se sentir concerné est une chose , réagir en est une autre ,

sur le lien si dessous vous pouvez signer la pétition de ses parents adoptifs je suis de tout coeur avec eux .

 

 

[url=http://www.mesopinions.com/Pour-le-Bonheur-de-Cindy-petition-petitions-1f7e002396210490278ce5ea210f43bf.html][img]http://www.mesopinions.com/_images/petition-1.gif[/img][/url]liu-ye.jpg

Partager cet article
Repost0
22 novembre 2009 7 22 /11 /novembre /2009 15:52

                                                             

Pass contraception: Royal en appelle aux infirmières scolaires

Alors que la rectrice de l'académie de Poitiers s'oppose à la distribution de ces pass contraception, Ségolène Royal demande aux infirmières scolaires de réclamer elles-mêmes les colis à leur proviseur.

Ségolène Royal en a appelé aux infirmières scolaires du Poitou-Charentes, leur demandant de réclamer à leur chef d’établissement les colis contenant
les «pass contraception», alors que la rectrice de l’académie de Poitiers s’oppose à la distribution de ces pass.

La rectrice a appelé les proviseurs à ne pas distribuer les colis

Béatrice Cormier, rectrice de l’académie de Poitiers, a confirmé mardi avoir demandé par courrier aux proviseurs de lycées de ne pas distribuer les «pass contraception» envoyés dans les établissements par le conseil régional.

Que Royal fasse cela dans un but politique ou pas les infirmières scolaires savent ce qu'elles ont à faire devant des cas parfois bien dramatiques .
Ce PASS fera son chemin malgré les embûches ,Ségolène ou pas .L'idée est bonne , il faut laissé faire le temps, n'est ce pas Mme Veil .
Le PASS prendra peut être une autre forme .On m'a toujours dit qu'il vaut mieux prévenir que guérir .
En Allemagne c'est très simple et cela ne choque personne ca s'appelle
"des tours d'abandon"(allez sur wikipédia pour comprendre)
Je suis ravie que ce PASS est fait autant de bruit !


 

Partager cet article
Repost0
10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 22:15


PLUS DE LA MOITIE DES BEBES D'AUJOURD'HUI DEVRAIENT ATTEINDRE 100ANS !


Si l'accroissement de l'espérance de vie qui prévaut depuis deux siècles se poursuit au même rythme, plus de la moitié des bébés des pays développés pourraient être centenaires, en assez bon état de santé.

Selon une étude conduite par le Pr Kaare Christensen, de l'Université du sud-Danemark à Odense, et publiée par the Lancet, l'augmentation de l'espérance de vie a été d'environ 30 ans au XXème siècle en Europe occidentale, en Amérique du Nord ou en Australie, voire davantage au Japon et dans certains pays comme l'Espagne et l'Italie.


Alors comme nous sommes déjà 6 milliards sur une planète qui à maintenant du mal à nous supporter,
je ne vois pas trop de solution à l’horizon,
je voulais juste rajouter ces articles du journal " Libération», puisque la parole et l'écriture nous est librement ouvert aujourd'hui et que les choses doivent être  répétées  tout le temps et inlassablement avant qu'elles soient bien ancrées, alors allons-y !
Je sais que ça ne représente qu'une goutte d'eau dans la mer, mais cela m'est égal.

                 
                                              
                                                                                                                         

La nouvelle pilule des étourdi(e)s

Contraception. Un délai de cinq jours pour «réparer» les oublis et accidents de capote, c’est la promesse d’Ella One.

1 réaction

Par CATHERINE MALLAVAL

Après la pilule du lendemain, voici celle du… surlendemain. Dix ans après l’arrivée tonitruante du Norlevo, sous les vivats du planning familial et l’ire des pro-life, le laboratoire HRA Pharma est heureux d’annoncer la naissance d’une nouvelle contraception d’urgence : EllaOne. Cette nouveauté en forme de comprimé blanc de 30 mg permet de réparer oublis de pilule, accidents de capotes ou absence de précautions, jusqu’à 120 heures après un rapport sexuel. Autrement dit, cinq jours. Un bon petit délai, comparé à son ancêtre Norlevo (également sorti de HRA Pharma) qui ne pouvait être prise que dans les 72 heures grand maximum. Et encore plutôt dans les douze à vingt-quatre heures pour être vraiment efficace.

Une aubaine pour les étourdies et malchanceuses qui redoutent d’être enceintes ? Un peu de patience… Si EllaOne aura dès cette fin de semaine les honneurs du Congrès de la société européenne de gynécologie où elle sera présentée «en exclusivité mondiale»,elle ne devrait être disponible que fin septembre. Conjointement en France, en Allemagne et en Grande-Bretagne. Le laboratoire HRA Pharma a en effet obtenu une Autorisation de mise sur le marché (AMM) européenne. Patience aussi sur l’épineux dossier du remboursement. Une demande de remboursement par la Sécurité sociale a déjà été déposée. Mais cela risque de prendre un certain temps. Patience enfin avant que pharmaciens et infirmières scolaires puissent la délivrer sans ordonnance. A moins que cette nouvelle contraception d’urgence ne bénéficie d’un coup de pouce des pouvoirs publics comme ce fut le cas en 2001 pour Norlevo.

arsenal. Cette année-là, malgré les affrontements idéologiques, la délivrance de la pilule du lendemain est autorisée dans les établissements scolaires (11 387 unités délivrées l’an passé). Et dès janvier 2002, elle est mise gratuitement à disposition des mineures dans les pharmacies. «A titre personnel, je souhaite qu’EllaOne puisse aussi être délivrée par pharmaciens et infirmières scolaires», affirme Marc-Alain Rozan, président du syndicat national des gynécologues et obstétriciens de France. Pour lui, c’est clair, cette nouvelle contraception d’urgence est un véritable «apport». Une solution de plus dans un arsenal d’urgence archi-limité et dans un pays où le nombre d’avortements ne fléchit pas : 200 000 par an. Actuellement, alors qu’une femme sur trois serait chaque année exposée à un risque de tomber enceinte sans l’avoir voulu, hors la pilule du lendemain, seul un stérilet au cuivre posé en express (cinq jours maximum) permet d’éviter une grossesse.

Préservatif.«D’après les premières études, EllaOne est très efficace : 97,8 %», ajoute Marc-Alain Rozan, qui ne peut s’empêcher au passage d’en appeler à une meilleure information des jeunes en matière de contraception. Et notamment dans le domaine du préservatif : «S’il y a autant d’accidents, c’est parce qu’ils ne le mettent pas bien. Je me bats pour qu’on en parle au 20 heures pour qu’on explique comment le mettre, comme dans les pays nordiques. Chez eux, on n’hésite pas à montrer une verge en érection s’il le faut.»

LA VOILA ELLAONE

La voilà EllaOne. La toute nouvelle pilule du surlendemain, qui permet de réparer les accidents de capote et oublis de contraception dans un délai de cinq jours, sera dans les bacs de toute les bonnes pharmacies dès ce jeudi 1er octobre.

En France, mais aussi au Royaume-Uni, en Belgique et en Allemagne. Le laboratoire HRA Pharma vient en effet tout juste d’obtenir le dernier feu vert à sa mise en vente. Las, sur ordonnance uniquement- du moins dans l’immédiat. Et au prix, non réglementé et non remboursable de 30 euros. Ce qui, pour quelques jeunes étourdi(e)s, ne manquera pas de faire un peu cher la boulette ou le pépin de condom.

Conscients de l’utilité de cette nouvelle contraception d’urgence, plus efficace que la pilule du lendemain (Norlevo) qui ne pouvait être prise que dans les 72 heures suivant un rapportsexuel, le Planning familial et les infirmières scolaires, très souvent en première ligne, montent déjà au créneau.

Pour le Planning familial, pas de doute : EllaOne doit être délivrée sans ordonnance, remboursée par la sécurité sociale et gratuite pour les mineures. Autant dire qu’elle doit être aussi facilement accessible que l’est actuellement la pilule du lendemain depuis 2002.

Les infirmières scolaires demandent, elles, l’autorisation de délivrer la nouvelle pilule. Dans un communiqué, le syndicat Snics-FSU dit le «souhaiter le plus rapidement possible» à l’issue d’une période d’observation nécessaire de ce nouveau produit. Motif ? Les infirmières scolaires «ont prouvé qu’elles étaient, auprès des jeunes, des acteurs essentiels pour l’accès et la délivrance de la contraception d’urgence mais aussi pour en assurer le suivi». Et si cette nouvelle pilule devait se substituer à celle du lendemain, «il apparaîtrait inconcevable d’en priver des jeunes filles qui ne peuvent consulter un médecin afin d’obtenir une prescription médicale ou qui ne disposent pas de la somme nécessaire à l’achat de ce contraceptif d’urgence

Mais alors que fait le labo ? Et que font les pouvoirs publics ? HRA Pharma a d’ores et déjà déposé un dossier de demande de remboursement et espère obtenir gain de cause fin 2009-début 2010. Et pour l’accès libre ? Un bon petit coup de pouce de l’Etat s’impose. Histoire que la pilule du surlendemain ne devienne pas celle des calendes grecques.


 ange06

Partager cet article
Repost0
14 août 2009 5 14 /08 /août /2009 10:12








Toujours dans mon thème sur les enfants , je vous raconte une petite histoire :

Hier en allant à la supérette du coin je croise une jeune femme avec un bébé de 1 ans dans une poussette , elle me demande si je peux lui donner 1 euros pour acheter du lait pour son bébé , elle m' explique qu' elle n' a pas d' argent , qu' elle vis dans un camion avec ses 3 enfants et sa mère. Surprise la colère me monte et là je lui hurle à la figure "tu peux pas prendre la pilule BON SANG !... Oui je sais ,mais je n' ai pas d' argent. Je viens de Roumanie et je n'ai pas de papiers pour travailler "je lui réponds " comment veux-tu travailler avec trois enfants en bas âge ?"
Je regardais sans cesse cette petite fille qui n' avait rien demandé à personne .J' ai emmené cette jeune femme avec moi à la supérette .
" Ecoute je vais t' acheter du lait , je ne donne pas d' argent , j' ai trop de mal à le gagner . "
Et voilà pas qu'elle me prends un pack de 6 l de lait ,un paquet de couches , des légumes ,du jambon de dinde s'il vous plait ! Je ne lui ai pris que le nécessaire pour ses enfants . Enfin merde , j' étais juste venue m' acheter une tranche de jambon et du pain !
En sortant j' ai recommencé, je lui ai pris la tête sur la contraception .Je lui ai hurlé à la figure que l' on ne fait pas d' enfant si on ne peut pas les nourrir , les élever décemment , les aimer en leur préparant un avenir.
Voilà , ma colère passée je me demande si elle se souviendra quand elle sera dans les bras d' un homme de mes mots de colère .

Quelques chiffres :

EN FRANCE :

-          Un million d’ enfants  pauvres

-          19 000 enfants maltraités

-          76 000 sont en danger dans un contexte familial dégradé

-          240 000 placés ou pris en charge

-          150 000 filles et garçons quittent le système scolaire sans aucune perspective

-          15 000 ne suivent pas leurs cours au collège ou au lycée alors qu’ ils n’ ont pas encore 16 ans

-          15 % des enfants arrivant au collège ne comprennent pas ce qu’ ils lisent

ange06

Partager cet article
Repost0
12 avril 2009 7 12 /04 /avril /2009 14:34


Après une semaine de dingue  , ce samedi matin s' annonce calme , je déjeune en regardant la télé , j'adore cette émission " thé ou café ", les gens y sont authentiques .J' espère seulement qu'ils ne sont pas au courant des questions avant l'émission .

Donc je bois mon café tranquille en écoutant Patrick Sébastien et là je me surprends à boire ses paroles , je monte le son , je vais m' installer sur le canapé pour m' effondrer en larmes .Ca fait longtemps que je n'ai pas pleuré , et voilà qu'il en rajoute   " l'amour est la clé de tout  "  ( j' en ferai bien le titre de mon bouquin ) et il termine par son mot de la fin "pardon " et c'est repartis dans la frénésie des sanglots , va ! C'est vrai il a raison, j' y ai mis du temps mais j'ai pardonné à ma mère , de m'avoir abandonné là un jour sur ce banc de la DASS à 3 ans .Hier j' imprimais un article du Parisien:  Enfant abandonné dans un fast-food il avait 3 ans. Un autre article :Un bébé jeté dans la Seine il portait encore son cordon ombilical  .

Je vais vomir ,j'ai envie d' hurler .

Je le pose sur une pile d'autres articles IDENTIQUES .Nous allons être bientôt en 2010 : monde débile irréversible.

Pour ma part avec le bout qu'il me reste de vie , je voudrai monter une association pour mettre en garde les toutes jeunes filles : que fille-mère à 14 ans ce n'est pas le meilleur des choix pour elle et pour l'enfant .

  Le festival à lieu à Cannes le 18 & 19 avril  pour défendre la loi du moins fort

 www.aae06.fr 

 

PS :Patrick Sébastien a décidé d' offrir les royalties du titre " on voudrait des sous " aux restos du coeur "

BRAVO MONSIEUR  !

.

angelica

Partager cet article
Repost0
5 mars 2009 4 05 /03 /mars /2009 21:47
La Rose Marie Claire, pour la scolarisation des petites filles

La 4ème édition de La Rose Marie Claire se déroulera du 2 au 8 mars 2009 avec le soutien de 20 stars de l’information : Claire Chazal, Marie Drucker, Laurence Ferrari, Elise Lucet,...

visuel.jpg

Depuis 2006, La Rose Marie Claire est vendue partout en France au bénéfice d'associations qui scolarisent des milliers de petites filles défavorisées dans le monde. L'événement a lieu chaque année, pendant une semaine, à l'occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes ( le 8 mars 2009).
rosehouse.gif

La Rose Marie Claire est vendue 3 euros dont 1,50 euro est directement reversé aux associations.

Aujourd'hui encore, seulement un tiers des enfants scolarisés sont des filles.
Pour cette année, la Rose Marie Claire servira à soutenir l’association « Toutes à l’École » au Cambodge, pour pouvoir scolariser à terme 1200 petites filles dans leur école « Happy Chandara » ; l’association « Care » au Bénin, afin d’améliorer les infrastructures scolaires de 22 villages et permettre à 2000 filles d’accéder à l’éducation ; le district Français du Rotary Club pour financer les études secondaires et supérieures de jeunes filles vivant sous le seuil de pauvreté.

La Rose Marie Claire est disponible chez les 5.400 Fleuristes membres agréés du réseau Interflora, dans les 55 magasins botanic, dans les 194 boutiques de prêt-à-porter Caroll en France, chez les Fleuristes Indépendants qui participent également à l’événement grâce au soutien actif de la Fédération Nationale des Fleuristes de France, des magazines Informations Fleuristes et de la Chambre Syndicale des Fleuristes d’Île-de-France, ainsi qu'auprès d'une centaine de Rotary Clubs dans toute la France lors de manifestations intégrant cet événement.
plancheecole.jpg

De 2006 à 2008, grâce aux 710 000 roses vendues, La Rose Marie Claire a permis de construire, rénover et faire fonctionner 31 écoles pour plus de 3300 petites filles au Cambodge, au Bénin et au Sénégal. Egalement en France, 72 bourses d’étude ont été attribuées pour aider des jeunes filles vivant sous le seuil de pauvreté à construire leur avenir.

Pour plus d’information : www.la-rose.fr

15:00 Publié dans A ne pas manquer | Lien permanent

Partager cet article
Repost0
18 janvier 2009 7 18 /01 /janvier /2009 14:56

Mon combat , y a t-il un moyen d' arrêter ça ?



Ces passagers clandestins découverts à leur naissance

Les dénis de grossesse concernent une à trois naissances sur mille.

Réagir

ROTMAN Charlotte

  • Agrandir la taille de police
  • Réduire la taille de police
  • Imprimer l'article
  • Envoyer l'article à un ami
  • Réagir

Elles sont enceintes, mais n'ont pas de nausées, ne changent pas de taille de soutien-gorge et prennent la pilule. Elles sont enceintes, mais le découvrent le jour de leur accouchement. Tout le temps de la grossesse, leurs bébés se comportent comme des «passagers clandestins» qui, «ne se sentant pas les bienvenus, joueraient à cache-cache entre les organes de la mère». Après trois ans d'enquête (1), la journaliste Gaëlle Guernalec-Levy veut démontrer que ce qu'on appelle «le déni de grossesse» ne concerne pas seulement les «les ados, les malades mentaux ou les femmes socialement démunies».

«Tiens, une tête.» Karine, 35 ans, aide-soignante, a déjà un enfant (désiré) quand, un jour, elle se rend aux toilettes. Elle a la vessie douloureuse, regarde entre ses jambes et se dit : «Tiens, c'est une tête.» «Ces histoires ne cadrent pas avec le progrès médical, la maîtrise de la fécondité, avec la liberté du sexe et de la parole», explique Gaëlle Guernalec-Levy.

Une recherche menée pendant sept ans par des médecins du nord de la France a décelé que 56 cas sur 2 500 relevaient du déni de grossesse. Les femmes avaient 26 ans en moyenne. Les études comptabilisent en France un à trois dénis pour mille naissances. Soit entre 800 et 2 400 par an. Ces grossesses ne tournent pas toutes au fait divers.

Une autre étude, menée par l'Inserm en 2005, a passé au crible des affaires traitées par 27 parquets entre 1996 et 2000. Les morts suspectes à la naissance représentent 15 % de l'ensemble, soit 22 cas sur 218. Sur ces 22 cas, 12 ont fait l'objet d'une mise en examen.

Occulter. Pour certaines mères, c'est «le bébé de trop», comme Sandrine, 37 ans et cinq enfants, qui en a «marre qu'on [la] prenne pour une lapine» et accouche en secret chez elle. Pour d'autres, c'est «le bébé de la honte» : Fathia, 35 ans, a perdu sa virginité, mais surtout avec un non-musulman, et occulte toute la fin de sa grossesse. Elle accouche dans sa chambre et met le petit garçon sous la couette. Avant l'arrivée des secours, appelés par sa mère et sa soeur, Fathia jette le bébé par la fenêtre.

Cet «enfant impensable» survient souvent quelques mois après la naissance d'un premier enfant. Il peut être le fruit d'une relation extraconjugale ou de la transgression d'un interdit familial. Adèle, une ergothérapeute de 25 ans, avait une liaison avec un médecin syrien. Venue pour le baptême de son neveu à un week-end familial, elle accouche à l'hôtel, «à quatre pattes dans la baignoire, d'un bébé de 3,8 kilos».«Il ne bougeait pas», racontera-t-elle. Elle jette le placenta dans la poubelle, et l'enfant par la fenêtre. Ces femmes voient souvent le bébé comme un intrus, une chose. L'une d'elles disait «la boule», «ça», «c'est sorti». Elles le trouvent «bleu», elles le croient mort et ne pensent qu'à le dissimuler.

La semaine dernière, à Montluçon, un nouveau-né a été trouvé dans la benne à ordures d'un quartier pavillonnaire : un habitant avait entendu des «miaulements».

(1) Gaëlle Guernalec-Levy, Je ne suis pas enceinte. Enquête sur le déni de grossesse, Stock, «Essai».

 

Partager cet article
Repost0
11 janvier 2009 7 11 /01 /janvier /2009 10:20
pour l' emmener vers demain , vous connaissez tous la chanson , non ?
Dans mon article sur Soeur Emmanuelle je vous parle de ma petite soeur que j' adore , avec son accord je vous présente les enfants de la DASS qu' elle dorlote .
Le petit bonhomme  à gauche sur la photo avait 10 jours quand il est arrivé chez ma soeur, il a aujourd'hui 3ans.
La petite fille a 3 ans 1/2 , elle est arrivée il y a 1 an , et la bonne nouvelle c' est qu'elle va retrouvée sa maman bienôt ,
parce qu ' elles vont mieux toutes les deux .
La jolie jeune fille à aujourd'hui 19 ans , ma soeur l' a eu à 4mois .
Bisous ma soeur !


Partager cet article
Repost0